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L’Idée de IDIOT DU VILLAGE est née il y a quelques étés, parce que je craignais déjà la prochaine saison des pulls. Horrible, une chemise qui me gène sous mon pull. Et je n’aime pas avoir le cou dénudé non plus. Avec toute une chemise en dessous d’un pull ou d’un tricot, on a parfois l’air emballé et gonflé. Puis, c’est souvent assez chaud et on se sent vite mal à l’aise au niveau des aisselles ou de la poitrine.

Quelques marques ont parfois des collerettes dans leurs collections, mais elles sont souvent d’une piètre qualité et sortent du lavage comme un petit morceau de papier crépon froissé. Et puis malheureusement, pour ces mêmes marques, les collerettes sont bien souvent produites dans des conditions de travails très douteuse et parfois mêmes par des enfants.

Quand j’ai mis pour la première fois mes ciseaux dans une vielle chemise en jean de mon amoureux, je me suis dit que j’allais produire des collerettes moi-même. De types différents, de couleurs différentes, et bien évidemment une ligne pour les enfants. Car tout le monde a le droit d’avoir sa collerette à mettre en-dessous de son pull. Classique et audacieux à la fois. Élégant et typique du Sud de la France. Mes collerettes permettront de ne pas paraître boudiner en hiver. Habillés, mais pas statiques. Ou oui. Quand vous avez cet accessoire, vous en pourrez plus vous en passer.

IDIOT DU VILLAGE produit très fièrerement et volontiers à Tirlburg, qui reste depuis des siècles la ville du textile aux Pays-Bas. C’est dans cette ville que mon grand-père avait son moulin à laine, c’est pourquoi le textile coule dans mes veines. Travailler avec des professionnels, dans de bonnes conditions de travail et avec plein de tissus variés. Avec toute la connaissance qui est héritée de génération en génération, avec un doux G. La tête dans les nuages, j’ai commencé le travail. Quel idiot peut imaginer tout ça?

Et bien, c’est moi, le vrai IDIOT DU VILLAGE.
-X- Carlijn Dreijer

Fondateur

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